Film impulsif sauvage. J’étais là, pas bien à trainer un mal-être, j’avais envie de sortir, il faisait beau, et j’avais cette envie de filmer. Le vent dans les rideaux et mon état du moment. Après hésitation, je me suis finalement lancé et j’ai suivi mon ressenti. Sans me poser de questions inutiles du genre « a quoi ça sert tout ce que je fais ? » « est-ce que le film plaira ? »
Je me suis laissé guider par ce qui m’attirait automatiquement. Au fur et à mesure, une dialectique s’est construite. Au montage, j’ai utilisé des sons/musiques que Léa venait de me faire découvrir, c’était parfait. Depuis, la démangeaison de filmer cela a disparu, j’ai bien fait de me lancer.