Autant Léa a des yeux de forêt était un film sur ma vie intérieure (en fiction), autant celui-ci vient brutalement étaler ma vie externe (en documentaire). Celle de mon derme au contact du monde réel. Sans m’y attendre, je me suis retrouvé, pour le première fois de ma vie, hospitalisé. Confronté à l’enfermement et à l’attente de comprendre ce qui m’arrivait, j’ai capturé mes impressions.