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Gertrud Sempiternelle se le faisait répéter souvent : ne touche pas les verrues des chiens. Bien sûr, elle essaya. Il eût sûrement été plus simple et efficace de lui apprendre qu’elle souffrait d’une maladie génétique rare, déclenchant au contact des verrues de chien, sa combustion spontanée.

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